Les aryo-anthroposophes (en passant par le Bauhaus), et partant tout l’art-thérapeutique de cette école, en sont résolument restés au système des traces physiognomoniques de Lavater.
En dehors d’une philosophie de l’empreinte, obsolète ou peu s’en faut aujourd’hui sinon peut-être en art, en quoi le système lavatérien ne serait-il pas une façon d’accrocher la peau d’un humain comme une autre ?
Pour justifier une théorie du canular, il ne s’agirait donc plus désormais que de l’accrocher haut à son porte urinal, avec transvasement singulier au pluriel normatif et inversement, et encore, à plus d’un titre, à un chapitre en cours, ce lavatérien lieu d’antan de la littérature ?
Cher Monsieur,
Excusez mon impertinence : est-ce moi qui n’aurais pas compris vos propos, ou est-ce dû que vous eussiez manqué intentionnellement de clarté ? Des pré-requis existent-ils qui me soient étrangers… Pourriez-vous, s’il vous plaît, éclaircir votre propos. Par avance, merci.
Cordialement,
Jacques-Alain Pierre-Lepiat.
« à un moment donné un événement évolutif (dont
la durée doit être appréhendée)
a fait passer l’état ancestral de papier – le livre
à dos cousu ou collé –
à un état dérivé : l’écran informatique »
Bruno Zlonyk, Le logé.
Je précise toutefois ma pensée : éditeur, revue ou libraire, une cimaise est également un « dos cousu ou collé ».
Dessein déçu
entre la première et la quatrième de cou
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Pour répondre à votre question
Parole d’objets génératrice de liens avec les espaces voisins, mon site Web est notamment un dispositif in progress (photo-poésie-sculpture) qui se défend d’adhérer, afin de ne pas surplomber son projet, à une définition : signet indiciel « à côté de la case » en effet, ce défaut de faciès lui va parfaitement au teint. Pour appeler un chat un chat, l’identité de l’entité Antécimaise n’est donc pas clôturée. Toutefois, pour assurer une visibilité souhaitable à notre travail, s’il vous apparaît que la catégorie retenue par défaut n’est pas adéquate, vous serait-il possible de préciser les procédures – disons les grands interlignes stratégiques – qui me permettraient, dans un autre champ heuristique, de basculer le contenu afin d’achalander la cimaise idoine ? À dessein, ce dispositif dont les artistes sont des personnages de fiction (et des pseudonymes qui ont émigrés dans la fiction), sous-titrons-le provisoirement : « Installation virtuelle hybride, rhizomique – on pense à Mille Plateaux – et totalement transgenrée. » Plutôt qu’au moyen d’un commentaire, pourriez-vous me répondre par courrier électronique ?
Filet latent d’eau d’océan déssalée à l’énigmatique et jovial rictus d’un armateur né à l’écart de l’estuaire, où le ciel est tondu, égal, aride et ras sur les essarts près de l’estran, un cimetière ici marin, aux haubans tenseurs relâchés cravachant, fouaillant, cinglant contre l’aluminium des mâts creux, et leur réponse est déjà vague à contenir un dernier alinéa aligné.
Hé , faudrait pas s’énerver tout à coup… Et puis, invisibilité mon œil ! Ho la la.
Clé contre-coudée pour les reboulonner
Une nuit avertie en vaut deux, voilà qu’elle entre chez un fleuriste pour en ressortir 1/2 heure plus tard avec en main une clé contre-coudée de 22 mm. Mais qu’en faire… Allons, de cette clé en main madame Claude n’a aucun usage, et nul souhait d’en user.
Aussitôt cela songé qu’elle fleurit, non Madame mais la clé ; cette clé désormais toute diversifiée de fleurs des champs. Elle semble flotter dans le bonheur, madame Claude. Et réellement elle flotte : un nuage de pluie la suit, surmonté d’un splendide arc-en-ciel.
Ce bouquet madame Claude le tend, c’est un peu son fard, et sa légendaire pâleur en est toute ravigotée.
Alors, débordant de joie, madame Claude offre ce bouquet en se disant que d’autres en auront un égal non-usage : elle l’offre, et l’offrant le bouquet se partage en se multipliant.
Le soir dans le village de madame Claude, après l’heure du dîner autour de chaque tablée la nuit scintille.
Les yeux de tous les enfants ce sont des paupières appesanties de pollen, et nocturne un rayon de lune y vient butiner. Aussitôt la lune songe que cette aventure de madame Claude est un régal, et la voilà qui va porter la bonne nouvelle aux villages voisins.
Mais au matin les enfants frottent leurs yeux, et le sable ensoleillé de leurs yeux rougis de sommeil les pique un peu. Longtemps les petits poings frottant les paupières mettent-ils à refleurir en menues mains, en petits doigts actifs.
Dans les premières lueurs de l’aube alourdies leurs paupières s’écartent, et là cela dans leurs yeux se transforme en autant de clés contre-coudée de 22 mm.
On dit souvent qu’un ange passe, alors que c’est un rêve… Un œil, deux yeux, dix mille yeux sont en chrome vanadium, et plus tard chacun aura sa petite automobile en LOA.
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endrait à l’expl orer
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Ô ! rassurez-vous, braves gens ! je ne vais pas jouer les nouveaux Joss Le Guern pour développer la farce ; et la plaisanterie, à frire, en aura tôt fini… Il est certains esprits, en effet, et Boileau l’imbuvable au premier chef, qui est actuellement de ceux qui se mortifient dans leurs cendres !
Signature
Les aryo-anthroposophes (en passant par le Bauhaus), et partant tout l’art-thérapeutique de cette école, en sont résolument restés au système des traces physiognomoniques de Lavater.
En dehors d’une philosophie de l’empreinte, obsolète ou peu s’en faut aujourd’hui sinon peut-être en art, en quoi le système lavatérien ne serait-il pas une façon d’accrocher la peau d’un humain comme une autre ?
À la petite Lili et à nos années commutatives
Pour justifier une théorie du canular, il ne s’agirait donc plus désormais que de l’accrocher haut à son porte urinal, avec transvasement singulier au pluriel normatif et inversement, et encore, à plus d’un titre, à un chapitre en cours, ce lavatérien lieu d’antan de la littérature ?
Cher Monsieur,
Excusez mon impertinence : est-ce moi qui n’aurais pas compris vos propos, ou est-ce dû que vous eussiez manqué intentionnellement de clarté ? Des pré-requis existent-ils qui me soient étrangers… Pourriez-vous, s’il vous plaît, éclaircir votre propos. Par avance, merci.
Cordialement,
Jacques-Alain Pierre-Lepiat.
C’est un malentendu : évidemment ce commentaire ne vous était nullement adressé !
À Monsieur Pierre-Lepiat
« à un moment donné un événement évolutif (dont
la durée doit être appréhendée)
a fait passer l’état ancestral de papier – le livre
à dos cousu ou collé –
à un état dérivé : l’écran informatique »
Bruno Zlonyk, Le logé.
Je précise toutefois ma pensée : éditeur, revue ou libraire, une cimaise est également un « dos cousu ou collé ».
Une colonne vertébrale ?
À Tel-Aviv, combien de bâtiments de plus ou moins célèbres architectes sont-ils dédiés au mythe de Noé ?
À Monsieur Pierre-Lepiat
Parfaitement.
De la systématique en littérature
Puisqu’il n’est pas une gondole, au sens marchand du terme, Antécimaise est-ce un meuble de classement, et alors qu’archive-t-il ?
Que d’os !
Ici, sous la dalle.
Pardon ?
Bis.
Dessein déçu
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Pour répondre à votre question
Parole d’objets génératrice de liens avec les espaces voisins, mon site Web est notamment un dispositif in progress (photo-poésie-sculpture) qui se défend d’adhérer, afin de ne pas surplomber son projet, à une définition : signet indiciel « à côté de la case » en effet, ce défaut de faciès lui va parfaitement au teint. Pour appeler un chat un chat, l’identité de l’entité Antécimaise n’est donc pas clôturée. Toutefois, pour assurer une visibilité souhaitable à notre travail, s’il vous apparaît que la catégorie retenue par défaut n’est pas adéquate, vous serait-il possible de préciser les procédures – disons les grands interlignes stratégiques – qui me permettraient, dans un autre champ heuristique, de basculer le contenu afin d’achalander la cimaise idoine ? À dessein, ce dispositif dont les artistes sont des personnages de fiction (et des pseudonymes qui ont émigrés dans la fiction), sous-titrons-le provisoirement : « Installation virtuelle hybride, rhizomique – on pense à Mille Plateaux – et totalement transgenrée. » Plutôt qu’au moyen d’un commentaire, pourriez-vous me répondre par courrier électronique ?
Amicalement,
Pascal Parent.
Invisibility cloak
Je tiens à préciser que je me plaçais du point de vue de Io visitée par Zeus…
Arrêtez, ne bougez plus, souriez : le « pet it » zeusio va sortir !
En parlant de Zeus, est-ce un flash, ou de la réminiscence ? Oups.
Du zen et du tir à l’arc !…
Joli ! Avez-vous lu Demarcq ?
L’oiseau mérite le détour, et c’est ici.
Et mon duvet, c’est du poulet ?
Pas de bisbille ici
Les amazones, au bercail ! Relisez votre Strabon, et surtout concentrez-vous.
Avis d’ekphrasis
Filet latent d’eau d’océan déssalée à l’énigmatique et jovial rictus d’un armateur né à l’écart de l’estuaire, où le ciel est tondu, égal, aride et ras sur les essarts près de l’estran, un cimetière ici marin, aux haubans tenseurs relâchés cravachant, fouaillant, cinglant contre l’aluminium des mâts creux, et leur réponse est déjà vague à contenir un dernier alinéa aligné.
Soleil tournant
ciel chaviré il pleut
l’ombre alors
dans l’arbre lumineux de la langue
se montre
capable de clarté
Hé , faudrait pas s’énerver tout à coup… Et puis, invisibilité mon œil ! Ho la la.
Clé contre-coudée pour les reboulonner
Une nuit avertie en vaut deux, voilà qu’elle entre chez un fleuriste pour en ressortir 1/2 heure plus tard avec en main une clé contre-coudée de 22 mm. Mais qu’en faire… Allons, de cette clé en main madame Claude n’a aucun usage, et nul souhait d’en user.
Aussitôt cela songé qu’elle fleurit, non Madame mais la clé ; cette clé désormais toute diversifiée de fleurs des champs. Elle semble flotter dans le bonheur, madame Claude. Et réellement elle flotte : un nuage de pluie la suit, surmonté d’un splendide arc-en-ciel.
Ce bouquet madame Claude le tend, c’est un peu son fard, et sa légendaire pâleur en est toute ravigotée.
Alors, débordant de joie, madame Claude offre ce bouquet en se disant que d’autres en auront un égal non-usage : elle l’offre, et l’offrant le bouquet se partage en se multipliant.
Le soir dans le village de madame Claude, après l’heure du dîner autour de chaque tablée la nuit scintille.
Les yeux de tous les enfants ce sont des paupières appesanties de pollen, et nocturne un rayon de lune y vient butiner. Aussitôt la lune songe que cette aventure de madame Claude est un régal, et la voilà qui va porter la bonne nouvelle aux villages voisins.
Mais au matin les enfants frottent leurs yeux, et le sable ensoleillé de leurs yeux rougis de sommeil les pique un peu. Longtemps les petits poings frottant les paupières mettent-ils à refleurir en menues mains, en petits doigts actifs.
Dans les premières lueurs de l’aube alourdies leurs paupières s’écartent, et là cela dans leurs yeux se transforme en autant de clés contre-coudée de 22 mm.
On dit souvent qu’un ange passe, alors que c’est un rêve… Un œil, deux yeux, dix mille yeux sont en chrome vanadium, et plus tard chacun aura sa petite automobile en LOA.
Corps de l’estran
Il parvi
endrait à l’expl orer
si le tripode lui
mouvait ––– ou lui avait
m û –––
le plan incliné ; op
erculé,
il lui mo
uvrait la peau
l’envel
oppe et l’exuvie
Mais bon ! So
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d’ailes-lu
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era de temps,
le corps s’avanç
ant avec le flux
et le ref lux
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« eau, d’une pierre, des dents, etc.), déchirement ou écorchement entraînant un pourrissement, une déco »
Jacques Galinier, L’Homme sans pied.
Ces efforts de langage afin d’abscondre ou d’amputer du sens, au fond, dites-moi, quel en est l’intérêt ?
Hognez, braves gens !
Ô ! rassurez-vous, braves gens ! je ne vais pas jouer les nouveaux Joss Le Guern pour développer la farce ; et la plaisanterie, à frire, en aura tôt fini… Il est certains esprits, en effet, et Boileau l’imbuvable au premier chef, qui est actuellement de ceux qui se mortifient dans leurs cendres !
La nuit l’estran
Instants
tramés d’eurêka
ne seront pas reconductibles
sans pieds sans bras
rien qu’autour
caractérisés par la pénombre
de son climat